Envie d'en apprendre davantage sur nos bacheliers ? Découvrez le témoignage de Catherine Defoin, diplômée en sciences administratives et gestion publique. Elle vous partage son expérience avec notre cursus.
Pourquoi avoir choisi l’Ecole Supérieure des Affaires ?
Humanité
L’ESA est une école à taille humaine, à l’écoute des élèves que ce soit dès le passage pour son inscription ou lors de demandes particulières et/ou questions diverses au Secrétariat. L’oreille attentive des professeurs qui ont à cœur de donner des conseils ou faire part de leur expérience de manière très concrète sur le plan professionnel est réellement appréciable.
La direction répond rapidement à nos demandes et cherche des solutions en cas de problèmes. Des petits problèmes, on en rencontre bien évidemment quelques-uns lors de son parcours scolaire. C’est ce qui fait pencher la balance vers la réussite ou l’échec. Dans mon cas, l’ESA a pu régler un de mes problèmes. Effectivement, petite anecdote, en dernière année de mon cursus, je me suis retrouvée en difficulté suite à un accident, j’avais la jambe dans le plâtre et je devais me déplacer en béquille. L’ESA a accepté de changer de local le cours qui était situé à l’étage pour le déplacer au rez-de-chaussée, le temps de ma guérison, sans même y réfléchir. Cela a fait la différence surtout en fin de parcours, car je ne voulais pas reporter mes cours.
Efficacité
Réussir mon cursus en 4 ans était mon objectif. J’ai réussi ce pari tout en travaillant à temps plein. Or, il est facile de baisser les bras lors des périodes intenses de travail à fournir, notamment à l’approche des examens. Mais les professeurs tentent toujours de nous booster pour rappeler notre objectif afin de nous pousser jusqu’au bout.
La majorité des cours lors de son cursus à l’ESA sont très souvent donnés dans des classes pas trop nombreuses. Cela permet vraiment de s’investir, poser toutes nos questions et éviter bien des erreurs. L’ambiance est donc studieuse, mais aussi efficace. Cela fait toujours plaisir d’apprendre des matières de façon théorique, mais aussi pratique. C’est important de pouvoir appliquer ce qu’on apprend.
Pour ceux qui ont besoin de temps, il est possible d’échelonner ses cours en 4 ans si la vie familiale et professionnelle empêchent leur bon déroulement. Les professeurs sont très pédagogues et souriants, s’adaptent aux étudiants. C’est très motivant surtout lorsque les soirées sont ressenties comme longues, derrière un banc d’école plusieurs jours semaines.
Rapidité
Le programme scolaire est bien élaboré. J’étais parmi la première année de création du bachelier en sciences administratives et gestion publique à l’ESA. Il est organisé en codiplomation avec l’IPFS (Institut Provincial de Formation Sociale). Malgré quelques ajustements à régler pour la mise en place de certains cours, notamment au niveau de la localisation des cours entre ces deux écoles, nous avons toujours pu être orientés en cas de modification. Quel cours à quel endroit ? L’ESA et l’IPFS ont toujours collaboré pour régler les problèmes et assurer notre bien-être.
« Mon diplôme en SAD m’a permis d’avoir un tremplin pour trouver un emploi dans le secteur administratif »
Reconnaissance
L’ESA bénéficie d’une très bonne réputation. Je suis très fière d’être sortie diplômée de l’ESA, car il s’agit d’une école sérieuse et rigoureuse. Pour apprendre le meilleur, il faut être entouré des meilleurs. L’ESA offre aux élèves la possibilité d’apprendre ce qu’il faut pour réussir son cursus, mais surtout d’en apprendre plus si l’on désire être meilleur, notamment grâce à la qualité des enseignants.
Pourquoi le bachelier en sciences administratives et gestion publique ?
Tremplin
Mon diplôme en SAD m’a permis d’avoir un tremplin pour trouver un emploi dans le secteur administratif. En effet, je travaille désormais au sein d’une Commune. Ce baccalauréat offre de nombreux cours intéressants aussi bien « généraux » (économie, langues, informatique, comptabilité) qu’orientés « administratif » (droit administratif, pouvoirs locaux, droit social, fiscal, management des ressources humaines, marchés publics, etc.). C’est vraiment varié et très bien ciblé. Il m’arrive à l’occasion de retourner dans mes cours pour m’assurer de certaines notions.
Secteur en demande
Selon moi, le point fort de ce baccalauréat sont les cours de marchés publics et ressources humaines. Ce sont des secteurs en demande. Les marchés publics, je ne connais pas d’autres écoles en Wallonie qui proposent un cours dans ce domaine en cours du soir. C’est une grande chance de pouvoir apprendre cela à l’ESA !
Les matières sont toujours actualisées. Cela permet d’évoluer aussi vite que le marché de l’emploi le requiert. Cette modernité est essentielle.
Utilité
Tous les cours de cette formation ont un grand intérêt et une utilité certaine. Je ne peux pas dire qu’une matière fut inutile. Cela arrive pourtant lors de certaines études de ressentir le regret de subir certains cours qui, selon nous, ne serviront jamais. Certains d’entre eux sont plus utiles que d’autres assurément, mais le lien administratif est toujours présent. Par exemple, la rédaction administrative qui m’est utile au quotidien, la comptabilité communale et les finances publiques qui permettent de comprendre le milieu dans lequel je travaille, les marchés publics essentiels dans mon propre service communal.
On peut donc trouver des notions vastes comme l’Economie ou plus ciblées comme Etat civil et Population. C’est capital, car une carrière est rarement plane : il faut savoir se mouvoir et changer de secteur si le besoin s’en fait sentir. Si l’on veut travailler dans un service fédéral, régional, provincial ou local entre autres, ce baccalauréat en sciences administratives et gestion publique est une belle opportunité.